LES RÉPUBLICAINS

À L'ASSEMBLÉE NATIONALE

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Le nouveau président du groupe LR à l'Assemblée nationale demande à l'exécutif « de faire preuve d'imagination » dans son projet de loi sur le pouvoir d'achat. Il suggère qu'une mission sur la « débureaucratisation » soit « rapidement confiée à un parlementaire de droite ».

Elisabeth Borne a envoyé dans sa déclaration de politique générale des messages appuyés sur les valeurs de la droite : travail, retraites, sécurité, finances publiques… Y avez-vous été sensible ?

La Première ministre a fait plusieurs clins d'oeil à la droite, associant même le mot souveraineté à mon nom. J'y ai été sensible parce qu'il y a cinq ans, la Macronie riait beaucoup quand je déplorais la vente d'Alstom ou d'Alcatel comme étant la perte d'éléments essentiels de souveraineté. Sur la méthode, nous sommes aujourd'hui tous contraints à innover, c'est la volonté des Français.

Vous êtes donc prêt à faire des gestes ?

Nous sommes des opposants, mais c'est une responsabilité pour nous aussi d'essayer d'avancer. J'y vois une opportunité. Depuis cinq ans, on nous a claqué la porte au nez. Nous avons des désaccords profonds avec le président de la République mais nous n'avons pas été élus pour bloquer.

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