Raphaël Schellenberger : «Le nucléaire a perdu confiance dans l'avenir»
Comment la filière française de l’atome a-t-elle viré au fiasco ? Le député LR Raphaël Schellenberger et président de la commission d'enquête sur la souveraineté énergétique en France a rendu son rapport, présenté ce jeudi 6 avril. La classe politique n’en sort pas grandie. Rencontre avec celui qu'on surnomme "le député de Fessenheim".
C’est avec le sentiment du devoir accompli que Raphaël Schellenberger présente ce jeudi 6 avril son rapport parlementaire sur les raisons de la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique de la France.
Pendant six mois, ce député LR du Haut-Rhin, âgé de 33 ans, a auditionné tout le ban et l’arrière-ban de la politique énergétique: les patrons d’EDF, de TotalEnergies, d’Engie, de Framatome, d’Orano, les régulateurs, les syndicalistes, les experts et tous les ténors de la politique, de Lionel Jospin à Ségolène Royal, en passant par Arnaud Montebourg, Manuel Valls, Nicolas Hulot et Elisabeth Borne...
Président de la Commission d'enquête sur les raisons de la très forte croissance de la dette française depuis l'élection pésidentielle de 2017 et ses conséquences sur le pouvoir d'achat
Membre de la Commission des Affaires européennes
Membre de la Mission d'évaluation et de contrôle des lois de financement de la sécurité sociale